Le Cercle de Whitechapel
Quand une intrigue à la Agatha Christie rencontre les Experts !
Mêlant le rire au suspens, une enquête policière qui lance Conan Doyle, Bram Stocker ou encore Bernard Shaw sur les traces de Jack l’Eventreur dans l’atmosphère du Londres de 1888.
Londres, 1888. Une étrange série de meurtres dans le quartier défavorisé de Whitechapel.
Un homme, l’éminent Sir Herbert Greville, veut faire la lumière sur cette affaire et il engage une équipe d’enquêteurs d’un genre nouveau. Il choisit un timide romancier qui débute sa carrière (Arthur Conan Doyle), un journaliste qui deviendra l’un des plus grands dramaturges du Royaume (Georges Bernard Shaw), un directeur de théâtre dont la carrière d’écrivain végète (Bram Stoker) et l’une des premières femmes médecins de l’époque (Mary Lawson). Au fil de leurs rencontres en catimini dans un ancien atelier d’artistes de ce quartier, ils vont chercher à dénouer les fils d’une des plus grandes énigmes criminelles de tous les temps. Ensemble, ils forment le Cercle de Whitechapel et ils vont vivre une aventure extraordinaire.
En nous plongeant dans cette enquête passionnante jusqu’à la dernière seconde, on découvre le monstre Jack l’Eventreur, symbole absolu du mal dans la ville de Londres en pleine prospérité. Ce tueur sans visage, donc tout particulièrement terrifiant, révèle les paradoxes d’une société victorienne de la fin du XIXe siècle où l’industrialisation semble tout rendre possible. Dans cette pièce policière, c’est le mythe du crime parfait ou de l’injustice absolue qui est abordé. Les progrès scientifiques, les richesses matérielles, la réunion des plus grands cerveaux londoniens ne pourront rien contre la force irrésistible de la nature humaine qui se révèle dans sa plus terrible splendeur.
Si vous avez l’habitude de regarder des séries policières ou de lire des polars sur la plage, vous serez peut-être surpris de réaliser que l’art théâtral sert magistralement ce genre. Nous pourrons suivre les circonvolutions de la pensée dans cette quête de la vérité et nous nous laisserons à coup sûr emmener, en nous prenant même pour Sherlock Holmes.
