J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne
L’un des grands textes de l’auteur de "Juste la fin du monde" servi par une brillante distribution multigénérationnelle. Un émouvant plaidoyer pour des droits réellement équivalents entre les femmes et les hommes.
Cinq femmes. Trois sœurs, la mère et "la plus vieille". Qui attendent. Le retour du frère, du fils. Lui, au moins, est parti, même si c’est le père qui l’a chassé. Ici, nul horizon. L’attente des cinq femmes donne lieu à toutes les hypothèses, tous les possibles, sur ce qui a précédé et ce qui suivra le retour. D’anciennes douleurs ressurgissent, des violences, des souvenirs, tandis qu’autour le monde semble en suspension.
Dans cette pièce qui fut qualifiée de "quintette pour voix de femme", Jean-Luc Lagarce décline une fois encore les thèmes qui lui sont chers : la famille, la mélancolie, les difficultés à communiquer. Avec l’acuité qui le caractérise, le metteur en scène Elidan Arzoni en expose clairement les enjeux. Débusquant dans l’écriture en entrelacs de l’auteur des motifs que le temps n’a pas altérés, il nous invite à réfléchir sur l’héritage problématique d’une époque où les femmes n’avaient qu’un rôle subalterne.
Production Compagnie Métamorphoses
Soutiens Ville de Genève, soutiens en cours
J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne - Le Galpon
au pied du Bois de la Bâtie au bord de l'Arve 2, route des Péniches
1200 Genève
Mise en scène et concept scénographique Elidan Arzoni Jeu Délia Antonio, Anna Budde, Sophie Lukasik, Nastassja Tanner, Yvette Théraulaz Composition musicale et création sonore Bruno de Franceschi Réalisation scénographie Benoît Delaunay Costumes et accessoires Hervé Broillet Lumières Danielle Milovic Maquillage, coiffures et perruques Johannita Mutter Couturière Trina Lobo Habilleuse Samantha Landragin Régie lumière et son Loane Ruga Régisseur plateau Janju Bonzon Œil extérieur et diffusion Jean-Michel Potiron Administration Eva Kiraly
Le chœur brisé des femmes
Cinq femmes. Trois sœurs, la mère et «la plus Vieille». Qui attendent. Le retour du frère, du fils. Lui, au moins, est parti, même si c’est le père qui l’a chassé. Ici, nul horizon. L’attente des cinq femmes donne lieu à toutes les hypothèses, tous les possibles, sur ce qui a précédé et ce qui suivra le retour. D’anciennes douleurs ressurgissent, des violences, des souvenirs, tandis qu’autour le monde semble en suspension. Dans cette pièce qui fut qualifiée de «quintette pour voix de femme», Jean-Luc Lagarce décline une fois encore les thèmes qui lui sont chers : la famille, la mélancolie, les difficultés à communiquer. Avec l’acuité qui le caractérise, le metteur en scène Elidan Arzoni en expose clairement les enjeux. Débusquant dans l’écriture en entrelacs de l’auteur des motifs que le temps n’a pas altérés, il nous invite à réfléchir sur l’héritage problématique d’une époque où les femmes n’avaient qu’un rôle subalterne.
L’un des grands textes de l’auteur de «Juste la fin du monde» servi par une brillante distribution multigénérationnelle. Surtout, un émouvant plaidoyer pour des droits réellement équivalents entre les femmes et les hommes.
Production Compagnie MétamorphosesSoutiens Ville de Genève, soutiens en cours
Tarifs
Soutien – 25 chf
Plein – 22 chf
Réduit – 15 chf
Jeune public – 11 chf
Réseau – 10 chf
Carte 20 ans/20frs – 8 chf
Les mercredis soir entrée à prix libre
En semaine 20h, dimanche 18h, lundi relâche