Klaus Nomi Projekt
Un objet musical et littéraire fou et foutraque
Un savant mélange de musique industrielle et d’accordéon, un texte kitsch et drôle, triste et foisonnant ; un comédien chavirant à la voie démentielle. Le Klaus Nomi Projekt se présente comme un objet musical-théâtral non identifié (OMNI), fou et foutraque, camp et résolument queer.
Klaus Sperber (1944-1983), alias Klaus Nomi, quitte sa Bavière natale en 1972, il débarque dans l’East Village en pleine contre-culture, il baigne dans le punk et la new wave, côtoyant la Factory de Warhol et les clubs branchés. Avec sa voix de haute-contre, une solide formation musicale et du goût pour le travestissement, il incruste sur des atmosphères synthé des airs d’opéra, des mélodies classieuses. Mais ce sont les derniers feux de cette époque : à 39 ans, Klaus meurt abandonné, parmi les premières victimes du Sida.Ce troubadour martien, ce mutant queer avant la lettre, renaît aujourd’hui dans le corps et la voix inouïe de Cédric Leproust, bardé d’une musique pop et savante composée et jouée par Marc Berman (à l’accordéon et à la boîte à rythmes), dans un texte singulier de Pierre Lepori.Un somptueux coffret en velours rouge (livre+CD), avec l’enregistrement studio du spectacle et les dessins d’Albertine (Prix Andersen, 2020), a été réalisé par la Cie TT3.
Klaus Nomi Projekt Pierre Lepori - Le Galpon
au pied du Bois de la Bâtie au bord de l'Arve 2, route des Péniches
1200 Genève
Un savant mélange de musique industrielle et d’accordéon, un texte kitsch et drôle, triste et foisonnant ; un comédien chavirant à la voie démentielle. Le Klaus Nomi Projekt se présente comme un objet musical-théâtral non identifié (OMNI), fou et foutraque, camp et résolument queer.
Klaus Sperber (1944-1983), alias Klaus Nomi, quitte sa Bavière natale en 1972, il débarque dans l’East Village en pleine contre-culture, il baigne dans le punk et la new wave, côtoyant la Factory de Warhol et les clubs branchés. Avec sa voix de haute-contre, une solide formation musicale et du goût pour le travestissement, il incruste sur des atmosphères synthé des airs d’opéra, des mélodies classieuses. Mais ce sont les derniers feux de cette époque : à 39 ans, Klaus meurt abandonné, parmi les premières victimes du Sida.Ce troubadour martien, ce mutant queer avant la lettre, renaît aujourd’hui dans le corps et la voix inouïe de Cédric Leproust, bardé d’une musique pop et savante composée et jouée par Marc Berman (à l’accordéon et à la boîte à rythmes), dans un texte singulier de Pierre Lepori.
Un somptueux coffret en velours rouge (livre+CD), avec l’enregistrement studio du spectacle et les dessins d’Albertine (Prix Andersen, 2020), a été réalisé par la Cie TT3.Prix des places, sauf exceptions :
25F Tarif de soutien
22F Plein tarif
15F OCE, AVS, AI, Passedanse (spectacles de danse uniquement), étudiants, tarifs jeunes, enseignants DIP (sauf déléguéEs culture, places offertes), carte Côté Courrier, dispositif Circulez, genevepascher, Agenda-Club
10F Professionnels des arts de la scène, Passedanse tarif réduit (spectacles de danse uniquement), membres de l’association du Galpon, détenteurs de la carte 20 ans / 20 francs, enseignants, Amis de la Bâtie, tpoint.
Le 19 et 20 décembre 2020
samedi 20h et dimanche 18h