Les Bacchantes, une nuit de folie ordinaire
« La plus vieille et la plus violente émotion de l’humanité est la peur. Et la peur la plus vieille et la plus violente est celle de l’inconnu ». H.
La tragédie grecque, par le caract.re et le sens universel qu’elle renferme, nous donne la possibilité, en la repensant d’une manière artistique et scénique, de parler des problématiques et des conflits qui sont le socle de notre humanité.
Dans le monde de la tragédie, l'homme par sa condition même, est moitie monstre, moitie humain. Dans ce sens on peut suivre l’idée de Friedrich Dürrenmatt, pour qui le monde est comme le labyrinthe du Minotaure ou comme un asile de fous !
C’est de là qui surgit l’idée d’inscrire « Les Bacchantes » dans le contexte d’un asile d’aliénés. Cette mise en abime permettra d’exprimer la vision d’un monde déchiré, parodique, marqué. par le néant. Néant provoqué par le silence des dieux ou par la façon dont ils nous manipulent.
Il faut s’imaginer cet asile et ses occupants comme une communauté vivant en autarcie, une bande de doux foldingues qui pendant leurs crises se déguisent, font du théâtre seule manière possible pour se libérer de leurs aliénations, de leur vie contrôlée et étriquée. C’est ainsi qu’. tour de rôle, ils érigent l’un d’entre eux en dieu du théâtre, Dionysos.
Les différentes scènes des Bacchantes seront ainsi déclinées tantôt de manière tragique, tantôt de manière comique et parodique.
Les Bacchantes, une nuit de folie ordinaire - Le Galpon
au pied du Bois de la Bâtie au bord de l'Arve 2, route des Péniches
1200 Genève
La tragédie grecque, par le caract.re et le sens universel qu’elle renferme, nous donne la possibilité, en la repensant d’une manière artistique et scénique, de parler des problématiques et des conflits qui sont le socle de notre humanité.
Dans le monde de la tragédie, l'homme par sa condition même, est moitie monstre, moitie humain. Dans ce sens on peut suivre l’idée de Friedrich Dürrenmatt, pour qui le monde est comme le labyrinthe du Minotaure ou comme un asile de fous !
C’est de là qui surgit l’idée d’inscrire « Les Bacchantes » dans le contexte d’un asile d’aliénés. Cette mise en abime permettra d’exprimer la vision d’un monde déchiré, parodique, marqué. par le néant. Néant provoqué par le silence des dieux ou par la façon dont ils nous manipulent.
Il faut s’imaginer cet asile et ses occupants comme une communauté vivant en autarcie, une bande de doux foldingues qui pendant leurs crises se déguisent, font du théâtre seule manière possible pour se libérer de leurs aliénations, de leur vie contrôlée et étriquée. C’est ainsi qu’. tour de rôle, ils érigent l’un d’entre eux en dieu du théâtre, Dionysos.
Les différentes scènes des Bacchantes seront ainsi déclinées tantôt de manière tragique, tantôt de manière comique et parodique.
25F Tarif de soutien
22F Plein tarif
15F OCE, AVS, AI, Passedanse (spectacles de danse uniquement), étudiants, tarifs jeunes, enseignants DIP (sauf délégués culture, places offerts), carte Côté Courrier, dispositif Circulez, genevepascher
10F Professionnels des arts de la scène, Passedanse tarif réduit (spectacles de danse uniquement), membres de l’association du Galpon, détenteurs de la carte 20 ans / 20 francs, enseignants, Amis de la Bâtie, tpoint.