VERA MORAIS «É APENAS UM POUCO TARDE» – TRONDHEIM JAZZ ORCHESTRA & OLE MORTEN VÅGAN

44e AMR Jazz Festival – Une soirée sous le signe de l’expérimentation et du groove

20h – Vera Morais «É Apenas um Pouco Tarde»

Vera Morais dévoile une création originale conçue pour la 14e édition du Festival Porta-Jazz. Entourée d’un sextuor mêlant vents et percussions, elle explore un langage musical hybride où l’anti-rhétorique devient moteur d’expression. Dans ce projet collectif et libre, chaque instrument élève l’autre dans une synergie fluide et ouverte aux influences. Une musique organique, en perpétuelle métamorphose.

- Vera Morais, voix
- Hristo Goleminov, clarinette basse, Saxophone tenor
- João Pedro Brandão, flûte, sax alto
- Inês Lopes, Piano, piano jouet
- Aleksander Sever, vibraphone
- Marco Luparia, batterie, percussion

21h30 – Trondheim Jazz Orchestra & Ole Morten Vågan

Un big band, certes, mais pas comme les autres. Sous la direction du contrebassiste Ole Morten Vågan, le Trondheim Jazz Orchestra navigue entre les traditions du jazz orchestral et les déflagrations sonores du prog-rock et de la fusion à la Zappa. Exit la mélancolie nordique, place à une énergie brute, un humour décapant et une musicalité aventureuse qui repousse les limites du genre.

- Ole Morten Vågan, contrebasse, direction
- Kjetil Møster, saxophones
- Håkon Mjåset Johansen, batterie
- Espen Reinertsen, saxophones
- Marianne Baudoin Lie, violoncelle
- Signe Emmeluth, sax alto
- Øyvind Brække, trombone
- Alexander Hawkins, orgue Hammond
- Hans Hulbækmo, batterie
- Eirik Hegdal, clarinette, saxophone
- Sofia Jernberg, chant
- Eivind Lønning, trompette
- Josefin Runsteen, violon
- Oscar Gronberg, piano
- Tor Breivik, ingénieur du son

19h-2h – DJ Mucha Muchacha aka Smorfia au lieu central

John Menoud et sa collection de vinyles transforment la soirée en un voyage musical sans frontières. Entre beats envoûtants et influences planétaires, ce disciple de la gastronomie italienne et du groove sans limite saura vous faire oublier le temps… jusqu’aux premières lueurs du matin.